Un article du journal le Fil fait part de récents travaux d'une équipe du Département de géographie et de géomatique de l'Université Laval, dont Nathalie Barrette, professeure au sein de ce département et membre de l'institut EDS.
Les analyses des chercheurs montrent qu’après une période de relative stabilité entre 1974 et 1986, la concentration moyenne d’ozone a connu une progression constante, passant de 13,1 ppb (parties par milliard) en 1987 à 26,8 ppb en 2015.